Dans
Tout est organique, je cherche à confronter deux images : celle d’une ville dépeuplée pendant la pandemie, invitant à ses sombres recoins, et celle d’une adolescence suspendue entre le réel et le virtuel, dont la vie sociale et l’enseignement se passent à distance.
Je m’ouvre aussi à la perspective de donner vie aux sujets précédemment enfermés dans les espaces en noir et blanc et leur offrir la liberté et le plaisir. De l’isolement et de l’enfermement causés par la pandemie, travailler à l’extérieur m’est devenu un motif pour sortir et pousser ma pratique dans une nouvelle direction — la représentation de l’esprit associé au féminin et à la vulnérabilité.
EN COURS